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ParcoursAfrique, Burkina Faso, socio-anthropologie, politique, économie, société, culture, religion, développement, renaissance, démocratie
Walid Hicham
J'écoute. Je participe. Je retiens. Je mixe. Et remixe. Je pontifie et ne me soigne guère.Je participe. Avec mes mots. Chacun ses armes. Je communique. Sans tabou et sans sectarisme. Avec une pincée de mauvaise foi pour la polémique. Un pays en ligne de mire : le Burkina fâché. Et les autres en fonction des vents et de l'humeur.
expertises africaines
Le principal objectif de ce blog est le partage des expériences avec les internautes du monde entier. Ce partage d’expérience vise à donner une autre vision du monde que matériel d’une part et d’autre part à décomplexer ceux qui sont en manquent de ce matériel là. Car le matériel ne doit pas être une fin mais un moyen. Ma motivation résulte d’un constat que j’ai fait dans mon environnement immédiat et lointain. Un constant constat fait chez les africains. La race africaine est vue a tord comme la dernière des races qui compose la société des humains. Une grossière erreur. Et ce qui n’est pas fait pour arranger les choses, c'est que la majorité des africains le croit fermement. Cette croyance ferme a semé le doute au sein des africains sur l’originalité et l’authenticité des savoirs et valeurs dont ils sont détenteurs. Entrainant ainsi dans son sillage, le renoncement unilatéral des africains à la mission pour laquelle ils existent. Ce renoncement à contribuer à ralentir la marche de l’histoire du monde et particulièrement de l’Afrique. Voulue et entretenue par des races étrangères de l’Afrique, la grossièreté a réussi à amener l’africain à se renier. Un reniement qui va de la tête de son physique jusqu’a son âme. En plus de ce reniement, l’africain a rejeté beaucoup de lui au détriment de tout des autres. il en est devenu hybride. Cette hybridité est la résultante du complexe d’infériorité occasionné par cette improuvable grossièreté. Depuis, l’homme africain semble être en quête de son imaginaire déficit. En dehors de quelques africains qui résistent encore à ce reniement de soi, la majorité des africains se sont dévoyer. Ainsi, l’africain se déploie à changer son aventure. Et même sa nature. Le tint de l’africain n’est ni noir ni clair, ses cheveux sont trafiqués. La pratique religieuse de l’africain frise l’abomination. Le travail, le courage, l’art de la guérison, la culture, la religion, le grégarisme ont été abandonnés pour une aventure incertaine. Devenant du coup dépendant d’une civilisation d’autre race. Il est coincé entre le mur de la tradition et celui de la modernité sur un chemin sans issu. A titre d’exemple l’africain mène une vie occidentale sur son continent. L’exemple le plus criard est celui de la femme africaine en générale et du Burkina que je connais le mieux en particulier. Jadis pilier de la famille, l’aventure dans laquelle nous sommes embarquée à réduit la femme à un état de chose. La femme est devenue un objet. Or, Je ne connais pas une race, dont la femme est naturellement magnifiée comme la femme africaine. Mais elle l’ignore ou le renie. Sinon d’où vient ce besoin effréné d’avoir des chevaux long, qui pourtant sont jolie crépus et qui n’embête surtout pas. Contre toute attente, la majorité des africaines veulent des cheveux long. Plus de 99% de femme africaines ont travesti leurs cheveux. Avec les conséquences néfastes qui sont : coût de revient d'entretien de cheveux élevé, entretien des cheveux, destruction de la cure chevelure. La mauvaise odeur que les mèches rejettent. Et surtout le poids de ce corps étranger qu’elles s’obligent à vivre avec. Je tais volontier ce besoin de tint clair, ce besoin de plaire à tout le monde au détriment de l’homme avec lequel elle vie. Ceci n’est qu’un pan d’une réalité africaine. Que dire de l’homme africain de nos jours. De chef de famille, il est devenu irresponsable. Près à tout pour le pouvoir au détriment de sa mission sur terre. L’africain lie la réussite au bien matériel. Or le seuil de saturation en bien matériel est insaisissable. Comme la possession ne se décrète ni ne s’arrache pas, l’africain est devenu malheureux lorsqu’il découvre son relatif manque. Alors, il en devient esclave, croyant que son bonheur est lié à la saturation du manque du moment. Car ce qui nuit le bonheur de l’homme est le plaisir matériel. Que dire du produit de l’union de l’homme et la femme africain. un être complexé. Un être qui commence à souffrir avant de savoir marcher et parler. un être sans éducation. Abandonné très tôt au soin d’une aide ménage qui elle aussi est amenée à se nourrir parce que lui aussi abandonné, ne peut avoir une éducation. Et pour couronner la démission parentale, des droits leur sont servis au moment ou ils ont besoin de protection. A mon sens, aucune race n’est dépositaire d’une idéale civilisation. Et même s’il est, elle sera africaine. Car la civilisation africaine n’a rien à envier aux autres civilisations. Que ce qui pense que l’avion, le téléphone l’échographie entre autre sont des prouesses occidentales se détrompent. Il existe des africains et particulièrement des burkinabè capable de faire mieux. Des burkinabè capable de rendre fécondes des femmes stériles, d’expédier un colis d’un point A à un point B sans utiliser un moyen de locomotion, de faire pleuvoir en un temps T sur un endroit précis, de déterminer le sexe d’un enfant a une semaine de grossesse. Des pouvoirs dont les conséquences néfastes sur l’environnement et sur l’humanité sont quasiment nulles. Ces pouvoirs sont compris comme de la sorcellerie par les non initiés. Et la sorcellerie n’est rien d’autre chez les autres, que la médecine la physique la chimie qui leur conséquences sur l’humanité et l’environnement est catastrophique. Des conséquences néfastes qui resulterait de la démesure des autres races. Tenez, il existerait plus d’arme à feu que d’hommes sur la terre. L’Afrique est le dernier continent producteur. En un mot, retenons que l’Africain est victime d’un complexe. Sinon il est un Homme fort, suffisant et de paix. Et à travers la rubrique « article » du menu de ce blog, des informations essentielles pour une meilleure connaissance de l’homme africain seront mises à la disposition des internautes. Un forum nous permettra d’être en contacte avec eux pour des échanges de point de vue. De photos serons exposées à la rubrique photos pour étayer nos informations. Et les mises à jour vous seront informées à travers les mails que j’aurai le plaisir de recevoir de vous à travers la rubrique « newsletter » pogbi sawadogo
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