Africa Renaissance

Africa Renaissance

Nature du Dieu d'une religion révélée

« Un Dieu qui rend les hommes fous »

 

Je n’invente rien.  Ce titre que vous avez sous les yeux, est une reprise exacte d’adeptes d’une religion révélée ; et ce n’est pas la première fois que j’entends cette sentence dans une bouche ! Cela me rappelle le début d’une fable fameuse du Français Jean de la Fontaine :

Un mal qui répand la terreur,

Mal que le Ciel en sa fureur,

Inventa pour punir les crimes de la terre.

La peste, (puisqu’il faut l’appeler par son nom)

Capable d’enrichir en un jour l’Achéron

Faisait aux animaux la guerre.

….

 J’avoue personnellement trouver peu de différences entre cette peste de Jean de la Fontaine et le dieu qui rend fous les hommes ! Pour moi, les deux ont un seul et même nom : le MAL. C’est vrai que je risque de me faire agresser par ces fanatiques qui ne savent même plus reconnaître la nature du mal face à celui du bien. En aucune façon, une folie ne saurait être quelque chose de sain ! Un fou est un fou. Je sais très bien aussi que des « savants » vont sortir après cet écrit, pour essayer de me faire comprendre que c’est moi qui ne comprends rien. Mais qu’importe, puisque nous sommes dans le même bateau, autant s’agiter pour faire comprendre que ce bateau prend l’eau, que d’essayer de ne rien voir, au risque que tous nous périssions ! La nature et les œuvres  du dieu des religions révélées est dangereuse pour la création. Autant dire tout de suite que ce dieu n’est nullement le Dieu créateur de toute chose. A force de le répéter, on a fini par convaincre le monde entier que c’était le cas. Or, le dieu des religions révélées s’est lui-même définit : « Je suis le Dieu de tes pères ; je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob » (Actes : 7:32) . Un tel dieu ne saurait jamais être le dieu universel, puisqu’Abraham n’a pas débuté l’humanité, et qu’au moment où son dieu se définissait ainsi, il y avait déjà d’innombrables hommes sur terre qui ne faisaient pas partie de sa famille.

Une chose semble cependant certaine. Depuis que ce dieu aux mœurs violentes et contradictoires s’est emparé de l’Afrique, le continent mère de l’humanité et de l’humanisme s’enfonce progressivement dans la barbarie. Mali, Nigéria, Somalie, Centrafrique, … la litanie est sans fin. Et l’Hydre peut sortir sa tête dans chaque ruelle de l’Afrique. La tolérance qui a toujours caractérisé les pratiques spirituelles des Africains est désormais une chose totalement oubliée, et jetée aux calendes grecques.

Aucune raison ne permet de défendre que des musulmans et des chrétiens s’entretuent pour des affaires religieuses puisqu’ils ont le même dieu. Celui d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Mais on comprend mieux l’affaire lorsqu’on se replonge dans l’histoire pour découvrir les hécatombes que les chrétiens ont réalisées sur d’autres chrétiens en Europe ; les musulmans ne sont pas en reste en s’étant massacrés pour des histoires de dynasties ou de grains de chapelets !

On mesure la valeur de l’arbre à ses fruits, dit-on. Honnêtement, les musulmans et les chrétiens qui tuent leurs semblables et ceux qui n’ont pas la même religion qu’eux, montrent-ils une nature saine ? On peut se permettre d’en douter. Les Africains soutiennent que : « La grossesse et la nature d’un homme sont de même nature. Ils finissent toujours par se révéler. » ! Mais paparipa ! quelle « Révélation !

Et les Africains se révèlent encore comme les dindons de la farce. Peut-être vaudra-t-il au moins faire sien cet adage plein de sage : « Si tu veux acheter une maison, regarde ses fondations. Si tu veux marier une femme, regarde sa mère ! ». J’ajouterai dans ce sens que : Si tu veux embrasser une religion regarde les agissements de ses fidèles !

 

 



26/03/2014
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